Alors là, j’ai envie de dire STOP. Alors que je commence à trouver un rythme, me couchant plus tôt et me levant du bon pied (va dire ça à un unijambiste), je suis crevé.
Un rhume carabiné me bouche le nez et me casse les couilles. Tout ce que je mange à le même goût de… pas grand chose. Je respire bizarrement et même sous la douche j’ai l’impression de faire de l’apnée. Mes nuits sont entrecoupées en phases de 2 heures après lesquelles je me réveille la bouche ouverte et la langue aussi humide qu’une tomate séchée.
Navré pour ce début de post aussi pénible que de tousser par dessus le marché, bordel c’est pas possible ! Enfin bref, cette fois promis j’arrête de me plaindre. Vous n’êtes pas les mouchoirs de ma frustration, et je ne voudrais pas vous refiler ma mauvaise humeur.
Quelques nouvelles, suite aux posts de début de semaine, et à certaines de vos remarques :
> Thomas Wiesel se porte bien. C’est fou comme les plantes ont meilleure mine quand on les arrose.
> Ayant reçu une nouvelle plante en début de semaine, j’ai le plaisir de vous annoncer que Nathanaël Rochat a rejoint Thomas. On dirait le vrai, parce qu’elle a l’air un peu amorphe.
> L’idée de l’interview devient donc ré-envisageable : parler à deux de ses plantes devient beaucoup plus fun qu’une seule.
> A part l’heure du réveil, pas grand chose n’a changé depuis le lancement de ce blog. Une dame m’a interpellé dans la rue, de loin, en criant “Gédéon !” mais – au vu de son air gêné lorsque je me suis retourné – je crois que ça n’a rien à voir avec ce blog.
> La direction de Couleur 3 ne m’a pas envoyé de petit cœur suite à ma promotion pour leurs émissions. Heureusement que Yann Marguet est mieux élevé. Promis, je penserai à toi lorsque je reçois une prochaine plante (surtout si c’est … DES ORTIES ! LOOOOOOOOOOOL)
> Désolé pour cette vanne.
> Désolé aussi pour ce post qui n’est pas ouf. Vous devez vous dire : “2/4 ça fait beaucoup quand même. Arrête de dire que c’est pas ouf et fais des textes de ouf.” Promis, je cours à la pharmacie acheter un spray nasal (ne dites jamais “gouttes”, sinon il vous refilent le truc pourri qu’il faut laisser tomber soi-même dans le nez) pour me soigner et je vous trouve l’idée qui me fera gagner le Goncourt du web.
A debain !