Les Fastnews démarrent sur la pointe des pieds, sans vraiment savoir si ça vaut la peine de parler de l’élection au Conseil Fédéral :

Des mois de surexposition médiatique pour accoucher de 2 petits tours où les dés sont plus pipés qu’un acteur de porno, il y a de quoi être déçus.


Quand tu ne sais pas si tu voulais faire journaliste au Matin du Soir ou humoriste :


Une pub ratée :

Ils auraient mieux fait de dire “J’y étais !” au lieu de “J’y vais !” comme ça si tu es Valaisan et que tu vas à la foire, tu as au moins un moyen de t’en rappeler.


Un article pour les Allemandes célibataires qui ne sont pas regardantes sur le métier.


Quand tu ne sais pas si tu voulais faire journaliste au Matin du Soir ou humoriste ET que tu devais pondre deux articles le même jour :


Le top ce serait surtout de donner des cours d’originalité à ceux qui les ouvrent…


Quand tu ne sais pas si tu voulais faire journaliste au Matin du Soir ou humoriste ET que tu devais pondre deux articles le même jour, MAIS AUSSI une pige pour Lausanne-Cités :


Quand tu veux briser une croyance forte chez tes lecteurs sous LSD (et que tu es un peu high aussi)


Bon, on parle quand même de l’élection au Conseil Fédéral, et de Pierre Maudet, qui prend la peine d’ouvrir une porte ouverte, avant de l’enfoncer, pour arriver dans le couloir du Schmilblic qui avance en marche avant :

“Ravi que son parti ait gagné” alors que c’était le seul parti en lice, Pierre Maudet est le genre de mec a être content d’être marié, surtout à son épouse. Il est aussi content d’avoir une femme.


ZIP qui rachète un site d’horaires d’ouverture : encore l’idée d’un type qui avait la braguette ouverte.

 


Si c’est l’APRÈS-Paremlin qui te fait du soucis, c’est qu’effectivement il y a du soucis à se faire.


Dolce&Viagrana :


On termine sur le magnifique discours d’Ignazio Cassis qui n’était pas un speech de petit sirop (désolé pour ce jeu de mot que même les journalistes du Matin du Soir n’ont pas osé faire). Je ne vous ai mis que les 25 premières secondes, sinon on fait un infarctus de l’attention :

Un discours de remerciements qui a été donc fait en trois langues. C’est bien pour le fédéralisme, mais on se doute quand même qu’il en aura toujours une de libre pour lécher le cul des caisses maladies.

A demain !